Lundi 8 février 2010 à 13:28

 On essaie de voir ce qui a changé. N'est-on pas censé apprendre de nos erreurs? Peut-être que ce n'étais pas des erreurs. Comment savoir. Pourtant, elle sait que ça ira mieux demain. Oui bien sûr. C'est ça d'être une éternelle optimiste. Pourquoi est ce que les synonymes d'optimiste sont "heureux, insouciant, philosophe, présomptueux". Parce que l'estime de soi est primordiale. Parce que la confiance est essentielle.Parce que lorsque l'on a été déçu une fois, certaines choses changent. Et si le temps finit souvent par réparer, il reste toujours une petite marque. Pas grand chose. Parce que le temps semble parfois filer à toute vitesse en nous narguant. Et quand soudain on s'en rend compte il nous fait un pied de nez et accélère. 

Lundi 8 février 2010 à 10:56

 Il suffirait de vouloir. Vouloir très fort et fermer les yeux. Et faire un voeux. Il y a tellement de choses inexplicables. Et incompréhensibles. Pourquoi est-ce que tout peut s'arrêter. Comme ça. Du jour au lendemain? Ou au contraire commencer ou recommencer sans que l'on s'y attende. Il suffira d'y croire. Y croire et se faire confiance. 

Lundi 8 février 2010 à 10:53

 Je me suis permise de t'embrasser. Sans aucune crainte. Je suis allé vers toi. Tu as murmuré mon prénom, n'osant croire que c'était bien moi qui te tenais la main. Avant que tu ne te lèves pour me serrer dans tes bras, je t'ai embrassé sans dire un mot. Je souhaitais le silence pour ne plus perdre de temps avec les paroles. Juste agir sans attendre. Les explications viendraient plus tard, ou ne viendrais pas.A ce instant précis tout ce dont je rêvais était de sentir ton corps contre le mien. Dernier baiser. Tu n'as rien fait pour me repousser. Tu m'as même enlacé.J'étais si proche de toi. Je n'avais plus le contrôle de mes mains. Toi non plus. Mon corps entier se laissé guider par l'envie. Du soir au matin...

Mardi 2 février 2010 à 19:36

 Je hais ta façon de me parler. Et la couleur de tes cheveux. Je hais la façon dont tu me regardes dans les yeux. Et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d'en crever. Et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d'avoir raison. Tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire. Davantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n'es pas là et que tu es dieu sait où. Mais je hais surtout de ne pas te hair, ni un seul instant, ni une seule minute, ni même du tout. Ce qui me manque, c'est le son de ta voix, l'éclat de ton sourire, la douceur de ta peau, la musique de ton rire, la profondeur de ton regard. 

Mercredi 17 juin 2009 à 16:38

Dans ce tout petit mot "art" , il y a une infinité de pratiques et de sens. En fait , c'est un ensemble d'activités plus proches de nous que nous pouvons penser. Danse, musique, peinture, théatre, cirque, cinéma... Tous ces arts font partis de notre culture et de notre environnement. Avec l'art, nous écoutons, nous regardons, nous sentons, nous échangeons, nous nous sentons exister autrement. L'art nous amène à jouer avec notre imagination, notre sensibilité. C'est un lieu d'invention, un espace d'exploration et de recherhce aussi bien pour l'artiste que pour le spectateur. L'art nous ouvre d'autres horizons. Il nous fait réléchir, nous étonne, nous surprend pour nous emmener ailleurs ou venir pointer du doigt ce que nous avons sous le nez.
 
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