Mercredi 29 août 2007 à 23:39
Le rêve c'est vivre quelque chose d'inhabituel.
Le rêve c'est se plonger dans l'irréel.
J'assimile le plus souvent mon rêve à des moments difficiles mais aussi de plaisir intense.
Mon rêve c'est vivre de la danse.
Mon rêve c'est de me plonger dans un univers de transe.
Depuis peu, on laisse de coté la difficulté qu'est la technique, on pense plus au ressenti, à la musique, aux sentiments que l'on veut retransmettre au public mais aussi aux sentiments que l'on peut éprouver.
Tout a commencé un jour d'hivers, enfin, un soir, lors d'un moment privilégié avec une grande femme aux apparence de demoiselle, une dame qui nous est dévoué...Comme on le dit souvent : "l'apprentissage fut long". On apprend à se connaitre, on fait connaissance, on se découvre, on s'apprécie, puis on s'aime...on s'aime d'un amour différent des autres. L'histoire d'un instant, le temps d'une mélodie, elle nous offre le vrai bonheur : celui d'être la musique. Les semaines passent mais ne se ressemblent plus... la relation entre notre corps et notre esprit évolue de jours en jours...
Préparation pour les concours régionaux de danse, une hygiène de travail s'instaure. Technique, présence et originalité sont au gout du jour ! Rien ne peut être laissé passé; une fois sur scène on prend place, on s'affirme, on s'envole et se laisse porter par l'émotion . En guise de récompense, la fierté, et le plaisir de remonter sur scène et de s'épanouir pleinement!
Préparation pour les concours nationaux de danse, notre hygiène se renforce, l'esprit de vaincre reprend le dessus, et on oublie peu a peu le plaisir de danser à cause de répétition semblables les unes aux autres...Quelques discours, quelques écoutes, quelques prises de conscience plus tard, l'émotion et le vide se fait à l'intérieur...Même si la compétition règne, on laisse parler notre âme...la scène c'est une explosion de plaisir, un orgasme incontrôlable, un sentiment indéfinissable...
Les semaines passent, on peut enfin faire le point d'une année de progression intense et de découverte.
Mais rien n'est fini ...
Une nouvelle rencontre
Une de celle qui restera gravée pour toujours dans nos vie
Un homme qui nous fait rentrer dans son univers, dans sa manière de penser et de voir les choses...
On l'admire, on prend tout ce qu'il nous offre et ce qui nous permettra d'avancer par la suite.
Merci pour tout ce qu'il a fait pour nous et pour cette scène qu'il nous a offert au corum de montpellier...
J'étais en transe c'est tout se que je souhaitais...
Mercredi 29 août 2007 à 20:48
Juste une nouvelle rencontre
Celle à laquelle je ne m'attendais pas
Je n'étais pas contre
Mais jamais je n'aurais pu prévoir cela
Juste une nouvelle connaissance
Celle à laquelle j'ouvre grand mes bras
J'accueille cela comme une chance
Mais jamais je ne me demanderai pourquoi
Juste une nouvelle personne
Celle qui rentre dans ma vie
J'espère juste que cette rencontre est bonne
Mais jusque ici je ne me fais aucun souci
Juste un nouvel être
Celui qui étrangement me regarde
J'espère que rien n'est que paraitre
Mais pour l'instant je suis sur mes gardes
Juste un garçon
Celui qui m'a donné des frissons
Je lui écrit cela et lui dis
Qu'il est dans mon cœur pour une partie de ma vie
Samedi 18 août 2007 à 13:50
Je suis assez nostalgique en ce moment.
On ne sait plus ce qu'on fait dans ce putain de Monde.
On construit, on détruit, on reconstruit.
L'argent-est le mot qu'on prononce le plus souvent.
Parce que avec, on peut soi disant faire tout.
On se cache devant des lunettes mouches, des capuches, des écharpes, le
maquillage.
Et on a toujours la cigarette dans la bouche.
Chez nous, on a tous quelque part une bouteille d'alcool fort. Et on aime.
Et on en est fier.
Ames errantes, on ne sait pas ou on va. Et on
aime ca. Et on en est fier.
On détruit, et on reconstruit.
On bousille notre ouïe, nos poumons, notre cœur, nos cinq sens ne nous
servent plus a rien.
On a un beau gilet rayé, et on aime, et on en est fier.
On juge bien trop vite.
On fait tout pour humilier, critiquer, rabaisser, juger. Et on aime ca,
et on en est fier.
A 11 ans on ne peut pas connaître la vie.
A 15 ans, on dit avoir déjà tout vécu.
On parle de souffrances profondes, de tentatives de suicides, de drogues,
de mal-être, de dépression. Et on va en discothèque tout les samedis soir.
Et on aime ca, et on en est fier.
On se construit une identité, fausse, pourtant, mais qui le saura?
On va au collège, au lycée, a l'université, à la fac.
Des fois, on part en vacances, avec la famille.
La famille qu'on aime.
A laquelle on sourit.
On détruit et on reconstruit.
Jusqu'a tout perdre.
Et on n'aime pas ca. On n'en est pas fier.
Souriez, vous êtes filmé.