Vendredi 20 mars 2009 à 21:50

Je ne suis pas du genre à me laisser briser le cœur, à avoir de la peine ou à pleurer, car je n'ai jamais ouvert mon cœur à quelqu'un. Les adieux ne m'ont jamais blessé car je ne m'investi jamais profondément dans les relations. Et quelqu'un peut bien me dire qu'il m'aime sincèrement ; En ce moment, cela ne signifierai rien pour moi. Mon esprit s'en est allé, je semble tournoyer, et dans mon intérieur mes pleurs se noient. Je perds prise. Je m'égare en amour. Voila ce que je ressens à ce moment présent. Je ne sais pourquoi j’ai eu l’impression que ces moments étaient différents, mais maintenant que je me suis rendu compte que non, ça m’entaille tel un couteau sous ma gorge, tel un coup de point dans l’estomac, tel le soleil qui brule et fait couler les larmes de mes yeux… Mais cela n’a pas d’importance puisque tu ne me connais pas vraiment, et que tu ne verras jamais mon regard pleurer, mes entrailles se serrer, ma gorge se nouer… Notre premier baiser est-il à l’origine de ma blessure, on n’aurait jamais du, même si l’on dit toujours qu’il ne faut jamais regretter, mais c’est si dur de se dire qu’on n’aurait jamais du s’enlacer, se serrer l’un contre l’autre, se regarder, se toucher, se rencontrer, se parler, car c’est le pourquoi de ma tristesse et de ma mise à l’écart. Mon esprit s'en est allé, je semble tournoyer, et dans mon intérieur mes pleurs se noient. Je perds prise. Je m'égare en amour. J’en suis de plus en plus sure, nos moments étaient différents. Comment ai je pus me trouver ici à tes cotés, je ne le saurai jamais, je n'ai jamais voulu dire ce que moi je voulais : que cela devienne intime… Et après tout à quoi bon, je reste à distance de cet « amour ». J’ai le cœur tiraillé, entre ce que je ressens et ce que j’ose montrer ; je ne peux te laisser le savoir, et je ne te le montrerais surement jamais, sauf si, à ton tour tes sentiments sont similaires aux miens, et que toi, tu ne joue pas aux jeux des apparences, et que toi, tu oses venir me voir. Encore faudrait-il que tu me comprennes, mais, après tout, l’important c’est d’y croire et ne rien demander. Mon esprit s'en est allé, je semble tournoyer, et dans mon intérieur mes pleurs se noient. Je perds prise. Je m'égare en amour.

Dimanche 15 mars 2009 à 14:03

Les garçons. Grande histoire de non-amour, ou amour a sens unique. J'ai eu une multitude de mec dans ma tête. Certains avec qui ça a duré, d'autres pas. Certains juste comme ça, d'autre où il y avait des sentiments, d’autres qui m'ont fait espéré et qui m'ont finalement jeté au bout d'une semaine, d'autres qui ne m'ont jamais vraiment dit leurs sentiments et avec qui ça a duré plusieurs mois voir plus d'un an. C'est à n'y rien comprendre. Un mec qui vous salie contre un qui vous aime, mais que vous, vous n'aimez pas. Je t'aime moi non plus... Je tombe toujours amoureuse des mecs qui s'en foute, et je fuis lorsqu'un mec est amoureux de moi. C'est ridicule hein mais c'est moi, je suis comme ça, ridicule à donner mes sentiments et a n'en recevoir aucun... Je n’aime pas ceux qui sont trop collant, mais je gueule quand ils ne le sont pas. Je fuis quand ils le sont trop. Eternelle insatisfaite que je suis, rien ne me va. L'amour, c'est bien trop compliqué pour moi. Je m'implique parfois trop, ou pas du tout. Je m'en suis pris des claques de Monsieur Amour mais rien n'y fait, je dois avoir un côté sadomasochiste en moi, pas si caché que ça. Une fois que je me prends une claques, en quelque manière je tends l'autre joue, tout en sachant que ça me fera toujours aussi mal.

Mardi 10 mars 2009 à 15:37

...j'avais sous estimé la puissance des hommes

Mardi 10 mars 2009 à 13:47

Une bousculade, ça existe comme mot ? Je suis un peu une bousculade, je crois. Petite chose qui renverse le monde à sa douce façon, sans aucun bruit. J'entre dans vos vies sans jamais en claquer les portes, j'y construis des merveilles d'amour et de poésie, je vous aime comme on aime le silence, amère et délicieuse. Je suis un petit caprice, une mélodie sans parole, une feuille froissée. Hier mon reflet brûlait dans les flammes et j'aurais voulu hurler de ne pas pouvoir me retenir à vous, de partir encore une fois, de ne savoir raconter qu'une seule histoire, celle des au revoir. Les quais de gare me fatiguent le coeur, les mêmes paysages défilent sous mes yeux et jamais je ne sais m'y perdre. Je voudrais partir loin, loin de tout ces cauchemars qui me rammènent à lui, loin de cette vie de rien et de ces heures absentes. J'ai des milliers de choses à faire et si peu de temps, des mois à oublier, une valise à fermer, des yeux à maquiller et un train à prendre.
Il y a parfois tant de regrets, dans mes au revoir.

Mardi 10 mars 2009 à 13:36

Cette petite voix railleuse commente tout ce que je pense. Cette petite voix qui fait tout simplement que je pense. Alors que je ne le devrais pas, je me l'étais interdit. A essayer de ne pas penser, je pense encore plus. Mais j'aimerais tant pouvoir fermer des cases de mon cerveau, pour ne laisser que les indispensables ouvertes. Et ne rouvrir les cases malicieuses que lorsque j'ai du temps à leur accorder. Alors, tais-toi petite voix, je fais ce que je peux, mais il y a certaines choses plus enivrantes que celles auxquelles tu me fais penser...

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