Lundi 21 février 2011 à 0:20

-Pourquoi tu me fuis tout le temps comme ça  ?!
-Parce que je ne répond plus de moi quand je suis avec toi... 

Dimanche 20 février 2011 à 17:46

When the rain is blowing in your face and the whole world is on your case, I could offer you a warm embrace to make you feel my love. When the evening shadows and the stars appear, and there is no one there. To dry your tears I could hold you for a million years to make you feel my love. I know you haven't made your mind up yet, but I would never do you wrong.  I've known it from the moment that we met. No doubt in my mind where you belong. I'd go ungry, I'd go black and blue, I'd go crawling Down the avenue. No, there's nothing that I wouldn't do To make you feel my love. The storms are raging on the rolling sea and on the highway of regret. Trought winds of change Are throwing wild and free you ain't seen nothing Like me yet. I could make you happy, make your dreams come true. No there's nothing that I wouldn't do Go to the ends of the earth for you, to make you feel my love...

Mardi 8 février 2011 à 15:14

 Rage, dévorant le feu de mon âme... Pour un instant de paix, je me damne. Le vase est plein à ras bord; La goutte d'eau va le faire passer par dessus bord. Toi qui lis ceci, fais attention, Rien n'est plus trompeur que l'affection. Un instant, souriante et charmante, L'instant suivant, infernale et dévorante. La distance ne la rend que plus condamnable. Elle prend alors la forme de son maître, le diable... Personne ne joue cartes sur table, Chacun a son squelette, chacun est coupable. Hypocrisie, mensonges et trahison, Voilà tout ce que donne l'affection ! Ne fais plus confiance, Ne tourne pas le dos à la chance...

Mardi 8 février 2011 à 15:03

Alors que je me perd dans un océan de pensées, l'air est lourd; Lourd de ses reproches que je n'ai pas su prononcer, de cette colère qui gronde en moi. Le ressentiment est palpable, je le sens dans chaque fibre de mon corps. Un ressentiment tel que je n'en avais jamais éprouvé auparavant. J'entend le tonnerre qui gronde, telle une bête sauvage luttant pour sa survie. Ce grondement est celui que je ne peux pousser, c'est ce mal de l'âme que je ne peux hurler. A chacun de mes souffles je m'en retiens. Un moment d'harmonie règne en maître à chaque fois, et puis le malheur frappe, me rappelant que rien n'est éternel... Je ne sais pas si je serais un jour capable de ressentir à nouveau ce sentiment qui pourtant était si fort.

Dimanche 9 janvier 2011 à 19:24

C'est un enfer à vivre. Mais comment vivre avec mes envies insensées? Car ton armoire est vide, mes rêves me dévorent, et mes draps sont glacés; toutes les nuits ... Je n'ai plus goût à rien, mais tant besoin de tout. De tout ce qui pourrait remplacer un être indélébile. Je cherche en vain ton double. Je serais prête à tout pour revoir le jour toutes les nuits ... J'ai gagné les clefs de la solitude, oublié les refrains que me rappelaient à l'ordre.

Toi et ton désordre... Ce désordre essentiel mais si confidentiel.

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