Dimanche 9 janvier 2011 à 19:24
C'est un enfer à vivre. Mais comment vivre avec mes envies insensées? Car ton armoire est vide, mes rêves me dévorent, et mes draps sont glacés; toutes les nuits ... Je n'ai plus goût à rien, mais tant besoin de tout. De tout ce qui pourrait remplacer un être indélébile. Je cherche en vain ton double. Je serais prête à tout pour revoir le jour toutes les nuits ... J'ai gagné les clefs de la solitude, oublié les refrains que me rappelaient à l'ordre.
Toi et ton désordre... Ce désordre essentiel mais si confidentiel.
Dimanche 9 janvier 2011 à 19:03
Peu importe ce qu'on donne, un sourire, une couronne, à quelqu'un ou bien à personne. Peu importe ce qu'on donne donner c'est comme recevoir. Comme quand on pardonne à ceux qu'on aime, et qu'on goûte à l'opium d'aimer quand même. Peu importe ce qu'on laisse à tous ceux qui nous délaissent, qu'on survive ou qu'on disparaisse. Peu importe qui nous blesse, laisser c'est comme tout vouloir. Mais sans s'en apercevoir, c'est comme une faiblesse pour ceux qu'on aime. Peu importe ce qu'on dit, avec des mots ou des cris, quand c'est le cur qui parle aussi. Peu importe ce qu'on vit, il faut toujours le vouloir et bien s'en apercevoir. Comme quand on sourit à ceux qu'on aime et qu'on goûte à l'opium d'aimer quand même...